• Volée de Piafs. Les Ramoneurs en soutien le 30

     
    Les Ramoneurs de menhirs joueront, le 30, pour la sauvegarde de la faune...
     
    Les Ramoneurs de menhirs joueront, le 30, pour la sauvegarde de la faune sauvage.
     
     
    Les Ramoneurs de menhirs seront présents sur scène, le samedi 30, au Manège de Lorient, en soutien à l'association Volée de Piafs. L'association, basée à Languidic, a pour objectif de préserver la biodiversité à travers son centre de sauvegarde de la faune sauvage. Son action première est de recueillir, de soigner et de relâcher des animaux sauvages en détresse.

    Sensibiliser à la cause animale et la biodiversité


    Le concert perme
    ttra de collecter de l'argent, nécessaire au bon fonctionnement de l'association et aux soins des animaux (90 € par jour par animal). Volée de Piafs, représentée par 350 adhérents aujourd'hui, aimerait en attirer de nouveaux. L'association veut montrer la nécessité d'un tel centre de soins, pouvant compter 2.500 animaux à l'année. Enfin, son but est de sensibiliser le public à la cause animale et la biodiversité.

    Pratique

    Au 10, rue Colbert, cité Allende, 56100 Lorient. En première partie : Magical Mystery Punx, -12 ans : 9€; tarif réduit - adhérents Volée de Piafs et MAPL uniquement : 12€; tarif normal : 13€. Pour plus d'infos : voleedepiafs.eklablog.com Studios MAPL, au 2, rue Jean-Le Coutaller, Lorient.

    © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/volee-de-piafs-les-ramoneurs-en-soutien-le-30-21-01-2016-10928257.php#VFmuJpVK8QeJdwCQ.99

  • Volée de Piafs. 500 goélands relâchés          

    Lundi, en début d'après-midi, Didier Masci et Nicole et Michel Fontana, de Volée de piafs, ont relâché à Kerouriec quatre goélands argentés, devant les caméras de TF1. Parmi ces oiseaux, un juvénile qui avait été projeté par le vent contre une voiture et un adulte amputé du bas de la patte suite un souci sur un câble. « Je ne m'inquiète pas pour lui, il vivra très bien », assurait Didier Masci, en lançant un appel aux promeneurs : « L'hiver, les coups de vent précipitent les oiseaux sur les plages. Aussitôt que l'on voit un animal mort ou vif sur une plage, il faut alerter : il ne faut pas le laisser traîner là. S'il est vivant, on peut le soigner ».
     
    Une espèce en déclin
    Avec ses relais comme Nicole et Michel Fontana, Volée de piafs peut intervenir très vite pour récupérer ces oiseaux. « Ils passent par la case Plouharnel, puis Languidic au refuge, et retour à Erdeven pour le lâcher », résumait Nicole. « Depuis le début de l'année, nous avons relâché 500 goélands. Le record a été de 85 pour un seul lâcher ».
    À cette action de sauvetage, Volée de piafs ajoute une sensibilisation contre la mauvaise réputation dont les goélands sont affublés. Et qui favorisent les mauvais traitements qu'ils subissent. « C'est une espèce en déclin, or, le goéland, qui ne pêche pas, et un nettoyeur indispensable ; dans des ports anglais où il n'y avait plus de goélands, le nombre de rats a décuplé ».

    © Le Télégramme 

  • Opération chariot au profit de Volée de piafs

    Nicolas, stagiaire, et les services civiques, Estelle, Marine, Léa, Marjorie  et Typhanie.

    Les bénévoles du Centre de sauvegarde de la faune sauvage, Volée de Piafs, seront présents dans le hall du magasin Intermarché pour une nouvelle collecte, samedi. « Ce sera également l'occasion d'échanger, d'expliquer ce qui est réalisé à Saint-Léon », souligne Estelle Rannou, service civique communication.

    Trois secteurs sont concernés. L'alimentaire « des boîtes de pâtée pour chat et chaton sont consommées à grande vitesse, surtout en destination des hérissons. Plus de 200 ont été recueillis cette année ». Également appréciées, les croquettes diverses, les graines pour oiseaux.

    Les soins « beaucoup de sérum physiologique et de gel hydro-alcoolique, de l'arnica en gel... ». Et pour l'entretien des espaces : du vinaigre blanc, des éponges... « Tous les produits qui nous sont nécessaires seront estampillés de notre logo, évitant aux gens de chercher. De plus, une liste de produits souhaités leur sera remise à l'entrée du magasin. »

    Sur le stand, photos et affiches détailleront plus précisément les activités du centre, à quoi servent les aliments demandés, la sensibilisation...

    Samedi 7 novembre, opération chariot dès 9 h, dans le hall du magasin Intermarché.


  • Des infirmiers pour oiseaux

    Coulisses de l'été.  Des infirmiers pour oiseaux

    Pas de vacances chez Volée de piafs. Le centre de soins pour animaux sauvages de Languidic reçoit une soixantaine d'appels par jour. Et l'association s'est lancée dans une campagne estivale de protection des goélands, en lien avec Sea Shepherd.
     
    L'association Volée de piafs, à Languidic, est spécialisée dans la sauvegarde de la faune sauvage. Dans le grand hangar et les diverses volières qui servent de refuge aux animaux blessés, c'est une véritable arche de Noé. Si la majorité des pensionnés sont des oiseaux, il y a aussi des hérissons, des chevreuils, des écureuils, qui se refont une santé au coeur d'un large espace boisé fermé au public.
     
    Des bénévoles passionnés
    Pour faire tourner une telle structure, il faut du monde, comme nous l'explique Estelle, 21 ans, service civique en communication, qui souhaite trouver ici « une première expérience pro » avant son master et suite à sa licence en biologie. C'est une équipe de passionnés qui oeuvre quotidiennement au bien-être animal. Outre les membres fondateurs et les six services civiques, les bénévoles constituent les forces vives de Volée de piafs. Parmi les compétences, les soins évidemment, mais ce n'est pas le gros des besoins . « N'importe qui peut être bénévole. On franchit les étapes progressivement avant d'être au contact des oiseaux, mais il n'y a pas de petites missions. Pour commencer, on fera surtout du nettoyage, de la préparation de nourriture ou du bricolage » , détaille Estelle. Et certains viennent de loin pour aider, de Lyon, de Strasbourg, et même d'Irlande ou de Suisse !
     
    Sauver les goélands juvéniles
    De début juin à fin septembre, en partenariat avec Sea Shepherd, l'association pilote la campagne « Gwelan rescue », mise en place pour venir en aide aux goélands juvéniles. En ce sens, onze bénévoles de Sea Shepherd sont présents en renfort sur le site. « Les jeunes volatiles sont particulièrement vulnérables à cette période. Ils savent voler mais pas encore très bien, on en retrouve énormément qui se sont fait écraser», déplore Arnaud Bouysset, coordinateur Sea Shepherd. Il rappelle que les trois espèces de goélands sont protégées et, qu'à ce titre, personne ne peut s'octroyer le droit de les maltraiter. « Aucune raison ne peut être valable pour les caillasser ou les couvrir de peinture à la bombe... » Dans les volières de l'asso, ce sont des centaines de jeunes aux ailes bandées ou aux pattes abîmées qui attendent d'avoir repris assez de force pour être relâchés... Des conseils en cas de rencontre avec un goéland blessé ? « L'idéal est de se munir d'une serviette et de parvenir à l'envelopper dedans, cela évitera de le stresser. On peut le transporter dans un carton bien fermé, dans lequel il y a des trous d'aération en nombre suffisant ! » souligne Estelle. « Et ne surtout pas mettre le goéland au niveau de notre propre tête, complète Arnaud. Il vaut mieux le garder à hauteur de notre taille pour ne pas risquer de blessure au visage. Et on ne les câline pas ! »
     
    Coup de gueule
    C'est le début de soirée, soit l'heure des soins infirmiers pour les blessés du jour. Pour cette mission, c'est Didier, le responsable du centre, qui agit. L'homme, passionné et bénévole, ne compte pas ses heures pour ses petits protégés. « Depuis janvier 2015, 1.500 animaux ont déjà été accueillis et en ce moment, on reçoit 60 appels par jour. C'est bien le signe que nous sommes d'utilité publique », tempête-t-il. Car du côté des subventions, ce n'est pas la profusion. L'association ne reçoit que 5.000 € du conseil général, 5.500 € provenant du cumul de deux réserves parlementaires et quelques centaines d'euros de la part de Languidic et de communes côtières. C'est peu pour faire tourner le centre à l'année, surtout quand les soins pour un seul oiseau s'élèvent à 90 €...
     
    Contact - Par téléphone, si vous trouvez un animal blessé, tél. 06.08.98.42.36. Par mail, si vous souhaitez devenir bénévole : voleedepiafs.asso@gmail.com

    © Le Télégramme

  • A Lorient. Ils volent au secours des goélands sur le port

    Ouest France - 8 juillet 2015

    Sea Shepherd s’associe à Volée de Piafs pour venir en aide aux poussins goélands qui ne volent pas encore de leurs propres ailes.

    Sea Shepherd s’associe à Volée de Piafs pour venir en aide aux poussins goélands qui ne volent pas encore de leurs propres ailes. Chaque jour ce mois-ci, des bénévoles patrouillent sur le port.Des goélands écrasés sur les routes du port. Pas rare. En ce moment, on les remarque, tagués en orange à la bombe. Ce n’est pas un acte de maltraitance, mais une trace du passage de Sea Shepherd. « On le fait pour marquer les goélands, éviter de recompter les décédés. Cela montre aussi qu’on est là, qu’on surveille », explique Solen, une bénévole de l’ONG.

    Depuis un mois

    La campagne « Goélands », menée par Sea Shepherd et le centre de sauvegarde de la faune sauvage Volée de Piafs basé à Languidic, a débuté il y a un mois à Lorient. « C’est ici que se trouve la plus importante colonie Atlantique de goélands. Mais la population décline ». On a recensé 2 500 à 2 800 couples nicheurs sur le port.

    Des nettoyeurs

    « On soustrait à une mort certaine un animal protégé, utile dans le biotope, résume Jean-Michel, bénévole à Volée de Piafs. C’est un nettoyeur. S’il disparaît c’est le rat qui arrive ».

    L'article complet à lire dans l'édition Ouest-France Lorient papier

     





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